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Publié le Déc 09, 2004 - 11:52 PM
Dialogue interreligieux

SAINT-DENIS : GROUPE INTERRELIGIEUX POUR LA PAIX – 93



Bilan d'activité 2010.


- Le Groupe Interreligieux pour la Paix - 93 (GIP 93) est une association loi de 1901, basée en Seine-Saint-Denis, fondée en 1998. Il a débuté, par une exposition interreligieuse lors du "Mondial de football".


- Ses membres sont de toutes religions (catholique, protestante, musulmane, juive, bouddhiste, bahaïe) ou agnostiques.


- Son but est le dialogue interreligieux pour la paix. Il a pour objectifs : une meilleure connaissance mutuelle des religions, une réflexion et un engagement sur les questions de vivre ensemble, et sur ce que le dialogue interreligieux peut y apporter, un questionnement sur le pluralisme et la reconnaissance, sur les obstacles au dialogue...


- Les réunions en soirée ont lieu toutes les 6 semaines environ. Parmi les thèmes récemment abordés: les fondamentalismes, la construction de mosquées, le dialogue judéo-musulman.


Le groupe a aussi organisé des veillées interreligieuses et des débats publics.


Lors des années précédentes, trois demi journées de Formation-réflexion sur le dialogue interreligieux ont été proposées à Saint-Denis (La diversité du dialogue interreligieux, le dialogue dans la perspective des diverses religions, le dialogue interreligieux dans la cité : expériences, outils, coopérations possibles).
- Médiation dans la cité
.
Contacts :
Mail :
legip93@gmail.com

Philippe LECLERCQ - phleclercq95@aol.com



Activités 2007 – 2008 :

GIP 93
Rapport moral du Président
Année 2007 – 2008

Assemblée Générale du 23 septembre 2008

EXTRAITS


Les réunions plénières
Le 11 octobre 2007
s’est tenue notre Assemblée Générale à la salle de réunion du 8 rue de la Boulangerie à Saint-Denis. Philippe LECLERCQ a présenté le rapport moral du Président. Philippe DUSSART, Trésorier, a ensuite présenté les comptes de l’association. Après différents échanges, les membres électeurs de l’Assemblée ont procédé de commun accord à un vote à main levée qui a confirmé Philippe LECLERCQ à la présidence du GIP 93, Lucien MASSONG, au Secrétariat Général et Philippe DUSSART, dans sa fonction de Trésorier. L’équipe du Bureau, outre le Président, le Secrétaire et le Trésorier, se compose ainsi des Vice-présidents et membres suivants, par ordre alphabétique : Lucien AMZELEG, Prodip CHAKRABORTY, Raphaëlle GRAS, Kilani KAMALA, Brigitte LAINE, Denise MONTBAILLY, Monique SOURON.

En deuxième partie de réunion, Monsieur l’imam Dhaou MESKINE nous a parlé du pardon, notamment dans le cadre du ramadan. Il a notamment rappelé que le pardon comporte une dimension à l’égard de Dieu, mais aussi à l’égard de l’homme. Ainsi par exemple si le jeûne du jour de hachora efface le péché d’une année par rapport à Dieu, encore faut-il cesser ses actions mauvaises à l’égard des hommes, s’engager à ne plus les commettre dans l’avenir et réparer le tort commis envers ceux à qui on a fait du mal. On ne peut pas se passer de son frère pour aller vers Dieu ; il n’y a pas d’accès à Dieu sans réconciliation. Invocation forte lors de la nuit du Destin : « Dieu, le Pardonneur, qui aime le pardon, pardonne-moi. », « Pardonneur » étant à entendre comme un nom de Dieu, pas un attribut.

Le 29 novembre 2007, nous avons écouté sur ce même thème du pardon les témoignages à deux voix de Monsieur Abraham MALTHETE pour le judaïsme, et du Père Michel SOUCHON, jésuite, pour les catholiques.
Monsieur MALTHETE met l’accent sur le lien entre le pardon (par Dieu) et le travail de conversion du cœur par l’homme : repentance pour les fautes commises envers Dieu par inadvertance, pour les transgressions volontaires et involontaires. Le judaïsme développe une voie moyenne entre rigueur et amour (hésed : fidélité personnelle par un lien du cœur, de l’intelligence et de la volonté) : pas d’amour sans reproche, pas de reproche sans amour. Au niveau des rapports interpersonnels, voir toute la dynamique des 40 jours qui précèdent la fête du pardon de Yom kippour, moment où chacun, même le père de famille, remet en cause son attitude à l’égard des autres et demande pardon.
Le père SOUCHON reprend la thématique du pardon en lien avec la conversion du cœur, relevant que dans la parabole du débiteur impitoyable (Matthieu 18, 23 et ss), ce qui est premier est le pardon de Dieu : c’est l’expérience du pardon par le maître qui aurait dû inciter le serviteur impitoyable à pardonner lui-même à autrui. L’expérience du pardon est au cœur du message évangélique. L’Eglise en a fait un sacrement. Le cœur de sa mission est lié à cette réalité (cf début des Actes des Apôtres ; et aussi pardonner 70 fois 7 fois, à la manière surabondante de Dieu). Le refus du pardon enferme l’autre dans son passé. Le génocide au Rwanda entre tutsis et hutus, deux communautés de tradition chrétienne, donne beaucoup à penser. A titre personnel comme au niveau collectif, il ne faut pas s’enfermer dans une logique d’autojustification : la « loi du mérite » a la vie dure ! La bonne attitude au point de départ est celle de l’humilité qui consiste à se reconnaître pécheur (message du théologien allemand Martin Buber).
Le 15 janvier 2008, nous avons tenu une réunion plénière sur le projet du Prix pour la Paix. C’était l’occasion d’expliciter et de débattre du projet lui-même, mais de réfléchir aussi sur les rapports entre l’interreligieux et la laïcité. Un texte de présentation en 4 pages synthétise le projet et le positionnement du GIP (disponible pour ceux qui le souhaitent).
En deuxième partie de réunion, Kilani KAMALA nous a présenté un compte rendu sur le vif de son dernier voyage en Israël, avec photos par rétroprojecteur à l’appui. Ce voyage était organisé par l’Association de Jumelage Palestine France qui a pour but de créer des liens de solidarité entre France et Palestine pour encourager sur place une volonté de mieux vivre ensemble entre israéliens juifs et israéliens musulmans. Questions cruciales s’il en est, qui en appellent au dépassement des replis identitaires et idéologiques par une découverte et une reconnaissance de l’autre dans le concret de son vécu.


Le 21 février 2008, nous avons accueilli Laurent KLEIN, Directeur d’école publique à Paris 19ème et Eric PLEE, professeur d’histoire-géographie au collège Jean Moulin à Aubervilliers. Ils ont évoqué les difficultés et les attentes touchant l’éducation des jeunes aux valeurs de l’humanisme dans l’enseignement, dans le cadre de la laïcité. Laurent KLEIN brosse le tableau de l’évolution de l’enseignement de la morale depuis les années 1980, relevant qu’on en arrive aujourd’hui à une morale de base sans transcendance où plus grand-chose ne fait sens et cohésion. Il n’y a pas eu de rebond avec l’Europe pour prendre le relai de la symbolique du drapeau par exemple au plan de la nation. Le rapport DEBRE préconisait l’enseignement du fait religieux. L’Académie n’a pas suivi. Il y a un manque d’outil pour utiliser le religieux dans le cadre de la laïcité en vue d’un meilleur vivre ensemble fédérateur. Il y a une coupure par rapport aux racines de la culture. On se prive d’atouts. Il faudrait pouvoir passer de la croyance au savoir (mot de Jules Ferry) pour renouer avec les bases de la culture. D’où l’importance de groupes de travail avec des enfants sur des thèmes religieux abordés différemment par les textes des différentes traditions.
Il s’en est suivi un échange très fructueux à partir des expériences diversifiées de différents participants.


Le 3 avril 2008, Bernard REBER, ancien président du GIP 93, chercheur au Centre de Recherche, Sens, Ethique et Société (CERSES) du CNRS, a développé un exposé sur le thème « des religions dans l’espace public au défi du pluralisme ». L’axe de réflexion choisi n’est pas celui de l’histoire de la philosophie ni celui de la philosophie logique qui collabore avec les scientifiques. Il s’agit d’examiner les mécanismes des faits sociaux et plus précisément, de voir comment on peut faire des évaluations morales pertinentes. Quant au pluralisme, il s’agirait de la gestion et de l’ouverture à la pluralité des faits sans en réduire la différenciation. Entre ceux qui disent que nous cherchons la même morale parce que le bien est bon pour tous et ceux qui disent que tout est relatif et culturel sans aucun arbitrage possible, le travail serait de « remettre de l’ordre dans la bibliothèque » pour réorganiser le débat en posant les questions correctement. Or on raisonne souvent selon trois niveaux de situation juxtaposés, empilés comme des poupées russes, et en articulant des logiques d’opposition : l’individu, la communauté, la société. Par exemple : ma religion m’impose le port du turban qui me pénalise à différents niveaux en tant qu’individu ; quelle politique l’Etat va-t-il mener à l’égard de cette religion et de ses membres ? Ce genre de raisonnement est limité sinon faussé dans la mesure où ces différents niveaux ne sont pas des entités monolithiques. On peut sortir de ces clivages en observant qu’il y a déjà pluralisme à tous niveaux : entre les religions (diversité des positions possibles allant de la dévalorisation de la religion de l’autre, à l’assimilation de l’autre à soi ou au respect de sa différence), au sein de chaque religion (pour le catholicisme par exemple, visions différentes selon qu’on appuie sa réflexion sur l’Ecriture, la philosophie morale, l’histoire des théologies morales, les textes du magistère, le droit canon, etc.), dans l’espace interreligieux (la résistance de la religion de l’autre peut en appeler à un renouvellement de la pensée religieuse au sein de sa propre tradition), et aussi dans l’espace public (comment intégrer la pluralité, ressentie comme une menace, en maintenant un équilibre satisfaisant entre raison d’Etat et liberté individuelle ?)
Le pluralisme est une réalité incontournable, au plan religieux comme à tous niveaux. Le tout est d’en assurer une gestion bien tempérée. La question du désir est centrale pour favoriser l’ouverture.

Le 20 mai 2008, Hélène JULLIEN était notre invitée. Rédactrice en chef de la revue du Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement (CCFD), elle nous a parlé de la crise alimentaire mondiale à la lumière de témoignages de terrain dont elle nous a fait part. Le constat de départ est que la croissance ne réduit pas les inégalités et que le recours au tout chimique dans l’agro-alimentaire atteint aujourd’hui ses limites. Le CCFD travaille en vue de nouveaux modèles de production avec des partenaires locaux dans 77 pays différents, 15.000 bénévoles en France, 350.000 donateurs. L’important est de travailler sur le long terme. Les causes de la crise sont à la fois anciennes et récentes. Dans les années 1980, les prêts massifs des banques ont contraint les pays pauvres à abaisser leurs barrières douanières et à développer des cultures d’exportation pour rembourser les prêts, au détriment des cultures vivrières, d’où une dépendance alimentaire qui fragilise maintenant les économies locales. Les systèmes de subventions des pays riches sur leurs produits agricoles ont aussi créé une situation de concurrence inégalitaire. Plus récemment, un certain nombre de facteurs ont conduit au dérèglement des marchés : les aléas climatiques, le développement des cultures orientées vers les agro-carburants au détriment des cultures alimentaires, l’augmentation de la population mondiale, l’augmentation de la consommation globale de viande (produire 1 kg de viande demande 7 kgs de céréales de nourriture animale), la spéculation sur les produits alimentaires. Les plus pauvres en sont les premières victimes.
Face à ces effets de système qui dépassent nos moyens individuels, des membres de l’assemblée originaires d’Haïti évoquent la réalisation du frère Franklin Armand (de la mouvance du père Charles de Foucault) qui, avec le temps et en se mettant à l’école des paysans, est parvenu à mettre en place un système agricole local équilibré qui touche aujourd’hui près de 500.000 personnes : développement des cultures et de l’élevage par un système de prêts et d’entraide et grâce à la construction de lacs artificiels qui respectent l’environnement par leur étanchéité naturelle en argile et par la protection végétale de leurs berges.
Raphaëlle GRAS évoque aussi l’évolution de l’agriculture au Penjab, depuis le travail ingrat des années 1920, en passant par les années 1960 et la révolution verte, pour en arriver à la restructuration des terres en grandes propriétés qui condamne les petits producteurs à la disparition, les terres étant par ailleurs appauvries et polluées par l’utilisation intensive des produits chimiques… jusqu’aux tentatives d’aujourd’hui de réappropriation des conditions d’existence et de production.
Témoignages également de membres du GIP originaires du Congo Kinshasa. Les armes ne sont pas produites en Afrique mais témoignent de l’instrumentalisation des conflits qui font perdurer la violence et l’instabilité, notamment dans les villes où il y a de grands décalages de niveaux de vie, tandis que dans les campagnes, la vie continue à se développer à une échelle locale plus équilibrée.

L’un des enseignements de ces témoignages est qu’il y aurait sur le long terme plus d’efficacité à travailler concrètement avec les gens sur le terrain et à petite échelle plutôt qu’à programmer de grands projets de développement élaborés intellectuellement et à distance, qui risquent de déstabiliser les équilibres locaux. Les prêts bancaires massifs des années 1980 ont eu des effets collatéraux redoutables et imprévus sur le terrain. Au contraire, l’exemple d’Haïti est une réussite de terrain sans théorie préalable qui par la suite, fait l’objet d’études et de thèses savantes sur le développement… Quand la théorie doit se mettre à l’écoute du concret…



Le 24 juin 2008, l’année s’est achevée à la salle de la rue de la Boulangerie à Saint-Denis par une réunion festive et un repas interreligieux. Les représentants de toutes les traditions présentes ont pu librement et chaleureusement s’exprimer. Chants en hébreu et en arabe de Monsieur le rabbin Gabriel H. HAGAÏ, prière sikhe chantée par Raphaëlle GRAS, poèmes, jeux de flûte, en accompagnement et en solo, de Xavier BAROIS. Tous les participants auront encore éprouvé ce jour-là que le fondement de l’ouverture interreligieuse est une affaire de cœur et d’expérience vécue qui apaise la peur face à la différence de l’autre, pour au contraire éveiller à l’attrait. Retrouver l’estime de l’autre et de sa tradition, objectif à reprendre chaque jour pour le GIP 93.

Evènements et participations diverses du GIP 93 en cours d’année

Dimanche 15 septembre 2007
: Présence du GIP à l’inauguration du complexe SHERE PUNJAB, créé à l’initiative de la communauté sikhe de Bobigny avec la participation de représentants du Maire.

Samedi 29 septembre 2007 : Participation du GIP 93 à la fête des associations de Saint-Denis. Tenue d’un stand d’information et d’accueil.

Dimanche 30 mars 2008 : Au Centre Communautaire Israélite du Val de Montmorency, rencontre très chaleureuse avec les élus de la ville et les membres du Centre qui avaient organisé un concert de très grande qualité, aussi bien au plan humain qu’artistique, autour d’Evelyne COHEN (piano) et de Benjamin DUCASSE (violon), tous deux professeurs au Centre des Arts d’Enghien-les-Bains, sur le thème des « musiques juives de tous les temps ».

Dimanche 6 avril 2008 : Assemblée Générale de la CMRP France dans les locaux de la salle paroissiale du 8 rue de la Boulangerie à Saint–Denis. Le GIP y était particulièrement présent et actif. Un large tour de table a permis aux participants de mieux se rendre compte de la diversité des activités de chaque groupe. En deuxième partie de journée, Christian LOCHON, secrétaire de la CMRP, a présenté un exposé sur les mythes d’Orient et d’Occident.

Dimanche 27 avril 2008 : Participation du GIP 93 à la célébration religieuse et festive du Foyer Protestant d’Aubervilliers, organisée à l’occasion du départ de Tim ROSE, membre de l’équipe pastorale, sympathisant du GIP 93.

19 juin 2008 : Présence du GIP 93 à l’inauguration de la mosquée de Drancy.

Dimanche 22 juin 2008 : Participation du GIP 93 à la fête des Associations d’Aubervilliers. Tenue d’un stand d’information et d’accueil.

Jeudi 3 juillet 2008 : Participation du GIP 93 à la première réunion de la Commission des Cultes instaurée par Monsieur Jacques SALVATOR, Maire d’Aubervilliers. Etaient présents des représentants des communautés protestante et catholique, de la communauté juive d’Aubervilliers, de la Mission Evangélique de l’Unité, de l’association musulmane d’Aubervilliers (AMA), de l’Ecole Réussite et de l’Ecole privée juive Chné-Or. Le souci déclaré du Maire est de permettre à tout citoyen de participer pleinement et librement à son culte religieux. Or cette participation cultuelle peut poser des problèmes soit matériels (absence ou insuffisance de locaux, problème de transports ou de parking), soit en termes de reconnaissance (difficultés administratives rencontrées par l’Ecole Réussite au regard de l’inspection académique). Chaque représentant a pu librement s’exprimer selon sa problématique particulière, dans une atmosphère d’écoute et de convivialité appréciée de tous.

Philippe Leclercq



Bilan antérieur :
Activités en 2006-2007
La réflexion sur l’action se mène à partir du Forum de la paix. Il s’agit d’essaimer dans les communautés, de mobiliser sur le thème du pèlerinage.

La musique constitue l’un des modes d’actions du groupe.

Un repas intercommunautaire est prévu.

Une action avec un collège a été axée sur l’aspect interculturel.

Le travail sur le terrain porte sur l’éducation à la non-violence et à la paix. Un projet est en cours d’élaboration à partir d’une bande dessinée muette en relation avec des thèmes définis. On fera réfléchir les enfants avant de les amener aux paroles des différentes traditions. Quand la BD sera finie, elle servira de scénario pour des sketches joués par les jeunes eux-mêmes.

Bonne mobilisation des jeunes. Plaquettes à utiliser dans des groupes de jeunes et les proposer à l'enseignement, à l'éducatif, aux loisirs, etc...


Contacts :
Mail :
legip93@gmail.com

Philippe LECLERCQ - phleclercq95@aol.com





 
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