- Pour adhérer : Adhésion - Dispositif spécifique pour 2024 (cliquer )
- Pour nous contacter, participer à la vie de la CMRP,Angers, le mardi 26 mars 2024 :Rencontre du Cerdi, Rupture de jeûne.
Strasbourg et en video , table-ronde le 25 avril 2024, L'Europe demain, au regard de ses sources et ressources spirituelles.
Aix-en-Provence : Programme - Croyants dans la Cité - Programme du 14 avril au 6 juin 2024.
Strasbourg, du 14 au 20 octobre 2024 : Sacrées journées de Strasbourg - Festival des Musiques Sacrées du Monde.
MADIPAX, 3 au 10 mars 2024 : Voyage de la Paix interculturel à Barcelone.
Bulletin de fevrier 2024 de l'association Tibhirine.
Bulletin de Janvier 2024 de l'association Tibhirine.
Bulletin de décembre 2023 de l'association Tibhirine.
Bulletin de novembre 2023 de l'association Tibhirine.
Bulletin d'octobre 2023 de l'association Tibhirine.
Bulletin de septembre 2023 de l'association Tibhirine.
Bulletin de janvier 2023 de l'association Tibhirine, voeux.
Bulletin de mai 2022 de l'association Tibhirine .(cliquer)
Bulletin d'octobre 2021 de l'association Tibhirine.(cliquer)>
le Bulletin d'avril 2021 de l'association Tibhirine.(cliquer)
le Bulletin de Decembre 2020 de l'association Tibhirine.(cliquer)
Nous vous recommandons des articles très intéressants à l'occasion du déconfinement dans:
Bulletin de juin 2020 de l'association Tibhirine.
La Lettre du CERDI, de juin 2020.
Et les numéros précédents, en temps de confinement:
Bulletin de mai 2020 de l'association Tibhirine.
l'Edition spéciale de la Lettre du CERDI ( Angers) sur le Coronavirus.
Refaire la France Replay dy débat aux Bernardins.
Sur l'Islam, débat entre Remi Brague et Ghaleb Bencheikh. Replay du débat aux Bernardins. Cliquer.
L'Islam et la liberté de conscience - Fondation de l'islam de France.
Si vous n'avez pas pu assister à ce Colloque en direct, il est visible en Replay sur la video de la Fondation de l'Islam de France ( cliquer )
Le Cri de la Paix, Religions et Cultures en dialogue, Rome 23 au 25 octobre 2022.
Avec Sant'Egidio. Autour de la guerre en Ukraine.
Video de l'Assemblée inaugurale, le 23 octobre 2022"
Frère Alois de Taizé : La prière comme source de paix. Cliquer.
- Vidéo de l'hommage-prière interconvictionnelle pour les victimes de la pandémie par l'association Agir pour la Fraternité.Paris 15e (cliquer)
- Mardi 5 février 2021 : vidéo-conférence :Fondacio, La dimension spirituelle des enjeux actuels, regards croisés ; juif, catholique, musulmane"> Revoir la rencontre du 5 février.
Vidéo à revoir : Cultiver la paix avec Louis Massignon.
Communiqué des responsables religieux chrétiens de France, 8 MARS 2024
Nous, responsables religieux chrétiens de France, sommes solidaires de toutes les victimes de la guerre entre Israël et le Hamas et appelons au cessez-le-feu. Porteurs des valeurs de l’Évangile, nous souffrons de la désespérante situation que connaissent plus de deux millions de personnes vivant dans la bande de Gaza. Nous tenons à affirmer que la restriction d’accès à des ressources essentielles tels que les soins médicaux, la nourriture et l’eau est fondamentalement inhumaine.
Le mer. 8 nov. 2023 à 17:31, Jean-René Brunetière a écrit :
Je rêve qu'un jour sur les collines rousses de Palestine, les fils d'anciens sionistes et ceux d’anciens feddayin pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité.
Je rêve qu'un jour, même la bande de Gaza, une enclave où brûlent les feux de l'injustice et de l'oppression, sera transformé en une oasis de liberté et de justice.
Je rêve que mes quatre petits-enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés sur leur religion ou leur race, mais sur la valeur de leur caractère. Je fais aujourd'hui un rêve !
Religions pour la Paix - France,
Commission Asie du Sud Est : Point sur la Birmanie.
L’avenir de la Birmanie entre démocratisation et tensions ethniques (constitution, laïcité, religions, économie)
Photographies par Flore-Ael Surun en 1995,
écrit par Matteo Surun.
Les commentaires et réactions pourront être envoyés à l'adresse :
religionspourlapaix@gmail.com.
Situé en Asie du Sud-Est, le Myanmar tirerait son nom d’êtres mythiques, des fantômes lumineux qui se seraient installés dans le pays, attirés par ses richesses et seraient devenus des hommes. En 1819, les Anglais déclenchent une invasion du pays pour protéger l’Empire des Indes. À la fin d’un conflit de 67 ans, la Birmanie devient une colonie britannique en 1886.
La Birmanie tient une place centrale pendant la Seconde Guerre Mondiale car elle est la base de cette route où, à partir de 1941, les Alliés fournissent des armes aux Chinois luttant contre les Japonais.
En 1948, les Anglais décolonisent la Birmanie. La liberté n’apporte pas la paix au pays traumatisé par la violence. Le héros de l’indépendance Aung Sang est assassiné. On assiste à des contestations communistes et à des soulèvements de minorités. L’armée prend le pouvoir en 1962, et réprime le socialisme, ainsi que les manifestations étudiantes.
En 1988, la fille d’Aung Sang, Aung Sang Suu Kyi remporte les éléctions présidentielles mais le pouvoir militaire n’en tient pas compte. Elle est placée en résidence surveillée. En 1991, elle est libérée et nommée Prix Nobel de la Paix.
Aujourd’hui, le pays s’ouvre progressivement aux capitaux étrangers et au tourisme. Le pays n’est pas cependant libéré des tensions qui subissent entre les différentes éthnies.
En février 2020, je participais pendant trois jours à un Model United Nations à la John Cabot University à Rome. Je représentais l’Autriche à l’United Nations Human Rights Council et devais débattre sur les deux sujets suivants : « Death Penalty and the Rohingyas Crisis ».
Je me suis particulièrement intéressé à ce pays qui me posait de nombreuses questions, à ses pagodes du site Bagan aussi fascinantes que le site khmer d’Anghor Vat au Cambodge et à cette figure emblématique et historique : Aung San Suu Kyi, véritable Gandhi du XXIème siècle.
Je n’arrivais pas à comprendre que ce peuple si humble et chaleureux qui transparaissait dans les photos de ma tante puisse avoir autant de haine et infliger autant de violences contre une minorité ethnique. En faisant des recherches sur ce pays j’ai commencé à saisir la complexité de ce peuple de par sa diversité. J’ai réalisé, en même temps que la communauté internationale, qu’Aung San Suu Kyi n’était pas seulement la figure morale qu’on lui prêtait mais surtout une femme politique.
Elle dit lors d’une entretien que « les jeunes afin de se construire dans la vie doivent suivre leurs principes et être investi d’un devoir sur Terre » . Sa mission est de sortir son pays de la misère et de le faire rentrer dans l’Histoire.
Elle dit n’avoir pas souffert lors de son arrestation car « elle a choisi son destin ».
Elle a choisi de vivre “avec son peuple et pour son peuple”. Bien qu’elle soit critiquée par rapport à sa position face à la crise des Rohingyas, elle a toujours pour objectif de servir son pays.
Instaurer la démocratie dans ce pays divisé depuis tellement d’année semble avoir pris le dessus sur les principes moraux d’Aung San Suu Kyi. Tout en condamnant les violences commises contre les Rohingyas, elle refuse le terme de « génocide » et lui préfère le terme de « nettoyage ethnique » devant la Cour Pénale Internationale de la Haye. Lorsqu’un journaliste lui demande si les Rohingyas sont des Birmans elle répond « qu’elle ne sait pas, elle reste perplexe ».
Le but de mon article ici n’est pas d’aborder exclusivement la crise des Rohingyas. Je m’intéresse à la place du dialogue interreligieux qui est nécessaire dans ce pays à majorité bouddhiste et au respect des minorités tout en préservant une identité birmane, grâce à un vivre-ensemble,
QUI SONT LES ROHINGYAS ?
Réactions aux attentats de Paris du 13 novembre 2015.
Tribune de Ghaleb Bencheikh.(Cliquer ) Président de Religions pour la Paix ( CMRP ) France.
Communiqué du Conseil européen des Responsables religieux. (En français)
Communiqué de Religions pour la Paix-International.(En anglais)
Lettre de Coexister et sa Tribune NOUS SOMMES UNIS.
Communiqués de responsables religieux :
Communiqué du Conseil français du Culte Musulman ( CFCM ).
Communiqué de la Conférence des Evêques de France.
Communiqué de la Fédération Protestante de France.
Message de l'Eglise Protestante Unie de France.
Autres réactions.( Cheikh Bentounes, etc.)
Editorial de Ghaleb Bencheikh,
Président de Religions pour la Paix-France ( CMRP )
Editorial de Ghaleb Bencheikh,
Président de Religions pour la Paix-France ( CMRP )
Suite au communiqué de l'association « Les Imams de France » ( voir ci-contre ), Gérard LEROY, ancien secrétaire général de la CMRP, nous adresse le lien ci-dessous relatif aux exactions dont sont victimes plusieurs communautés religieuses en Afrique et au Moyen-Orient.
N'évoquez pas la Syrie ou l'Irak à la télévision... Il y a le Tour de France !
http://questionsenpartage.com/n%E2%80%99%C3%A9voquez-pas-syrie-l%E2%80%99irak-%C3%A0-t%C3%A9l%C3%A9vision-il-y-tour-france
Diverses réactions aux attentats de la période de Noël
LES AMIS DE LA PAIX , dialogue interreligieux et non-violence Communiqué : Soutien à nos frères chrétiens d’orient
- Les amis de la Paix, au Mans.
- Communiqué de Gap-Espérance.
- Article du Père Henri de la Hougue et de Kamel Meziti dans Oumma.com
- Appel de musulmans : l'Islam bafoué par les terroristes sur respectmag.com.
Suivi du témoignage de Mustapha Chérif : "Pourquoi j'ai signé l'Appel"
- Réponse d'Emile Moatti au témoignage de Mustapha Cherif.
Le 31 décembre un attentat perpétré dans une église Copte d’Alexandrie en Egypte fit 21 morts et 79 blessés. L’Association sarthoise interreligieuse “ les Amis de La Paix ”, membre de section française la Conférence Mondiale des Religions pour la Paix et du GAIC (Groupement d’Amitié Islamo-Chrétienne) s’élève pour condamner les actes de violence perpétrés envers nos frères chrétiens d’Egypte, d’Irak, d’Afrique …etc.
Au nom des membres de l’Association “ Les Amis de La Paix ”, nous affirmons notre fraternité et notre solidarité envers les familles des victimes tant éprouvées. L’Association exprime sa profonde inquiétude, quant à la situation des chrétiens d’Orient et leur droit à pratiquer librement et en toute sécurité leur religion.
Cependant ces crimes ne doivent pas nous entrainer à suivre les promoteurs de la peur et de la haine. En France ne laissons pas la discorde s’installer entre chrétiens et musulmans, nous savons que le vrai islam est, celui de la paix, celui de la tolérance, celui du message d’amour et de concorde entre les hommes. Dans le Coran il est dit : “ Celui qui tue un homme, est considéré comme avoir tué toute l’Humanité ”.
Face à cette violence, le dialogue entre les religions est plus que jamais nécessaire, pour faire entendre la voix de ceux qui, par la conjugaison de leurs efforts, construisent au quotidien des ponts entre les religions. Ces liens interreligieux et interculturels sont en eux même un message d’espoir et contribuent à bâtir une société laïque ou le mot fraternité prend tout son sens.
Hilaire BODIN Président et chrétien
Adji DRAME Vice-présidente et musulmane
Association Insh'allom
La Plateforme des Initiatives civiles de Paix au Proche Orient.
- Communiqué du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM)
- Homélie du Pape Benoît XVI, le jour de Toussaint (1er novembre 2010)
- Condamnation par le recteur de la Grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur
- Communiqué de Mgr Santier, Président du Conseil pour les relations inter-religieuses de la conférence des Evêques de France.
- Communiqué du comité interreligieux de la famille franciscaine.
- Communiqué du Rassemblement des musulmans de France.
LES BAHA'IS DE FRANCE
Communiqué
Iran :
Le procès des sept bahá'ís repoussé
COMMUNIQUE DE PRESSE
Des leaders jeunes se réunissent du monde entier pour traiter des défis
de la militarisation, de l’armement nucléaire et de l’abus qui est fait de la religion.
3 juillet 2009
LES BAHA’IS DE FRANCE
Communiqué
Les sept administrateurs bahá’ís en Iran accusés d'être des «propagateurs de la corruption sur Terre»
Communique from Israeli and Palestinian Youth
EMERGENCY CONSULTATION
OF ISRAELI AND PALESTINIAN RELIGIOUS YOUTH
COMMUNIQUÉ
21 JANUARY 2009 | PARIS, FRANCE
Le Conseil de Religions pour la Paix du Proche Orient et de l’Afrique du Nord
demande que le processus de paix en Terre Sainte prenne un vigoureux nouveau départ.
—Le Conseil adresse cet appel aux chefs d’Etat, aux Nations Unies, à la Ligue arabe, et à l’Organisation des Etats islamiques—
Situation dramatique des baha'is en Iran : Procès annoncé des sept administrateurs :
-Procès repoussé au 18 octobre 2009.
- Les sept bahá'ís accusés d'espionnage jugés mardi 18 août, leur avocat incarcéré.
- Appel d'Amnesty International à écrire aux responsables iraniens.
-Date annoncée pour le procès : 11 juillet 2009
- Lettre au Procureur général de la République islamique d'Iran
- Communiqué : inquiétude après des supposés "aveux".
- Communiqué de presse du 17.02.09
- Biographies des personnes emprisonnées
- Déclaration de la présidence au nom de l'Union européenne
- Lettre ouverte d'intellectuels iraniens, à la Communauté Baha'ie.
- Réactions internationales au procès attendu des iraniens baha’ís
Iran :
Le procureur général de l'Iran affirme qu'ils seraient passés aux aveux
L'inquiétude redouble pour les sept détenus baha'is accusés de «blasphème» et d'«espionnage» en Iran
Communiqué de presse du 17.02.09
Iran : Procès annoncé des sept administrateurs bahá'ís
Paris, publié le 17 février 2009 - Une fois encore, les bahá'ís de France sont inquiets : une dépêche de l'agence iranienne ISNA annonce comme imminent le procès des sept administrateurs bahá'ís arrêtés et incarcérés depuis mai 2008. Il s’agit des deux femmes et des cinq hommes responsables de la gestion des affaires courantes de la communauté bahá'íe d'Iran, désignés comme les "Amis d'Iran".
Leur avocate, le Prix Nobel de la Paix, Me Shirin Ebadi, n'a toujours pas été autorisée à rencontrer ses clients ni à accéder à leurs dossiers. Détenus à la prison d'Evin à Téhéran, dans la section 209 qui dépend des services de renseignement, les cinq hommes seraient enfermés dans une même cellule de 10m2, sans lit.
Mercredi dernier, après neuf mois de détention sans chef d’accusation formel, le vice- procureur de Téhéran a annoncé que les sept bahá'ís allaient être jugés pour: "appartenance à l'organisation illégale bahá'íe", "espionnage au profit d'Israël", "blasphèmes" et "propagande contre la République islamique d'Iran".
Selon un communiqué d'Amnesty International, ces chefs d'accusation sont motivés par des considérations d'ordre purement politique. Pour l'organisation, ce sont des prisonniers de conscience, incarcérés au seul motif de leurs convictions et leurs activités pacifiques au service des bahá'ís d'Iran. En cas de condamnation, les sept administrateurs bahá'ís risquent la peine capitale.
« Ces accusations sont montées de toutes pièces et le gouvernement iranien le sait », a déclaré Diane Alai, représentante de la Communauté internationale bahá'íe auprès de l'ONU à Genève. Elle réclame leur libération inconditionnelle.
Les baha'ís demandent un procès équitable car ils attendent que l’innocence soit reconnue. Cela implique, entre autres, que Me Shirin Ebadi puisse rencontrer ses clients, ait accès à leurs dossiers et puisse avoir suffisamment de temps pour préparer leur défense. Le procès doit être public et avoir lieu en présence d'observateurs internationaux.
Les 300 000 bahá'ís d'Iran constituent la minorité religieuse la plus importante du pays. Considérés comme des "infidèles non protégés", ils ne sont pas reconnus par la Constitution de la République islamique et, 30 ans après la révolution islamique, continuent de faire l'objet de persécutions intenses et systématiques.
Portrait des sept prisonniers : "Des vies de service, les biographies de sept bahá'ís emprisonnés"
Information pour les média
Consultation d’urgence entre jeunes Israéliens et Palestiniens
du 19 au 21 janvier 2009
Salle de conférence, Hôtel Ibis Gare de l’Est, 6 rue Saint-Laurent 75010 Paris, France
Personnes à contacter :
Mme Mehrézia LABIDI-MAÏZA ou M. Laurent KLEIN
tradlabidi.fib@orange.fr
Alors que la tension est perceptible entre la communauté musulmane et la communauté juive en France, sur fond de mobilisation des uns et des autres pour ou contre la guerre à Gaza, et au moment où le dialogue entre leurs représentants semble dans une impasse, quatre jeunes Israéliens et quatre jeunes Palestiniens se rencontrent à Paris du 19 au 21 janvier pour une consultation d’urgence.
Cette consultation est organisée et accueillie par la Conférence Mondiale des Religions pour la Paix, le réseau le plus étendu au monde de croyants de différentes religions engagés ensemble dans diverses activités pour promouvoir la paix et organisation accréditée auprès de l’ONU, dont le siège est situé à New York.
Les jeunes qui forment les délégations israélienne et palestinienne discuteront de l’impact de la crise actuelle sur leur engagement commun pour le vivre ensemble et le dialogue pour la paix. Les participants développeront aussi des projets regroupant des jeunes œuvrant pour la paix à Jérusalem.
Les média sont invités à une session (mercredi après-midi) de travail et pourront interviewer les participants.
Liste des participants :
Leaders de groupes de jeunes palestiniens et israéliens :
1- Melle Ameera Gaber (musulmane et palestinienne)
2- Melle Miriam Abd Eldeim (musulmane et palestinienne)
3- Melle Christina Khoury (chrétienne et palestinienne)
4- M. Omer Harami (chrétien et palestinien)
5- Melle Darda Eliezer Brom (juive et israélienne)
6- Melle Michal Shachat (juive et israélienne)
7- Melle Yaël Dvora Yechli (juive et israélienne)
8- Melle Ayala Sima Hendin (juive et israélienne)
Statement on Mumbai
from the Office of the Secretary General
2 December 2008
Statement on
“Youth As Peacemakers, Gathering In Hope, Pledging Common Action”
Mindanao, Philippines | 15 October 2008
Presentation of Mindanao Appeal to Gloria Macapagal-Arroyo, President of the Philippines,
by Moderator of Religions for Peace Asia & Pacific Youth Network Lawrence Chong,
with Secretary General of Asian Conference of Religions for Peace Dr. Sunggon Kim
at the University of Santa Tomas on 17 October 2008.
URGENT APPEAL FOR MINDANAO
Mindanao, Philippines | 15 October 2008
Plateforme de Paris vous invite au colloque
La résolution des conflits et des violences
L’année 2008 a été désignée comme l’Année européenne du dialogue interculturel. En outre, les Nations Unies ont proclamé 2001-2010, la décennie internationale de la promotion d’une culture de la non-violence et de la paix au profit des enfants du monde. La Plateforme de Paris pour le dialogue interculturel voudrait contribuer aux événements qui marqueront cette période en encourageant la compréhension et la tolérance par « le dépassement des stéréotypes et des préjugés » qui est essentiel à la prévention des conflits.
Actuellement, l’ensemble des sociétés et cultures passe par une ère de turbulence où s’élaborent, face aux violences, des politiques de sécurité qui réagissent à celles-ci, et qui, parfois, peuvent être contraire à la paix, à la solidarité, à l’amour, et au respect de l’autre.
Dans ce contexte, la Plateforme de Paris se propose d’organiser un colloque afin de mettre en relief les convergences possibles de différentes cultures de la paix, et de plusieurs réflexions sur la résolution des conflits et la gestion de la violence. Les personnalités réunies réfléchiront sur les sources des conflits et des violences, ses évolutions dans la société et au rôle des mouvements et des leaders, et à leurs possibilités de contribuer à l’émergence de la paix et du dialogue à travers pays et continent.
Le Colloque se tiendra le jeudi 6 novembre à l’Institut Catholique de Paris, en bénéficiant du soutien de l’ISTR (Institut de Science et de Théologie des Religions) et de la Fasse (Faculté des Sciences économiques et sociales) de l’Institut Catholique de Paris.
Programme
9h Accueil, discours d’ouverture : François BOUSQUET et Erkan TOGUSLU
9h30-11h00
Les conflits et l’autre
Kenan GÜRSOY (Université Galatasaray, philosophe)
La question de la violence, et le rapport à l’autre comme miroir, apport d’un
philosophe
Donatus NDULUO (ICP Paris, doctorant en Théologie)
Récit d’un processus de réconciliation : l’après-Apartheid en Afrique du Sud
François MABILLE (ICP/FASSE, sociologue -politologue)
La prise en compte de la complexité des facteurs et des environnements dans la
résolution des conflits, apport d’un sociologue-politologue
11h30-13h00
Les défis et les opportunités dans un monde global face à la violence
Rony BRAUMAN (IEP Paris, Médecins sans frontière)
Défis et opportunités des ONG (l’exemple de MSF)
P. Antoine SONDAG (Etudes internationales de CARITAS – Secours Catholique)
Défis et opportunités des institutions religieuses
Emmanuel LINCOT (ICP/ FASSE)
Défis et opportunités de l’interculturel
Déjeuner
14h30-16h00
Promouvoir la paix à travers les médias, l’éducation, et la religion
Patrick PÉPIN (Radio France, médiateur)
La manière de traiter les « sujets » pour apaiser les conflits
Cemal UŞŞAK (KADIM-Fondation Dialogue Interculturel, Istamboul)
Le rôle des éducateurs dans l’apprentissage de la paix dès la jeunesse
François BOUSQUET (Institut Catholique de Paris, ISTR, théologien)
La sagesse des religions pour contribuer à la
Lieu: Institut Catholique de Paris, Salle B01
Date: Jeudi 6 Novembre 2008
Des responsables religieux appartenant à des religions différentes
en Afrique du Nord et au Proche Orient s’engagent à construire la paix dans la région
World Religious Leaders Urge G8 Governments
to Take Action on Violent Conflict and Climate Change
—Religious leaders of different faiths from 25 countries convene
parallel G8 Summit for Peace in Hokkaido, Japan—
Call from Sapporo – World Religious Leaders Summit for Peace
On the occasion of the G8 Hokkaido Toyako Summit
July 3, 2008
Sapporo, Japan
High-Level Multi-Religious Delegation Helps Build Peace in Southern Thailand
—Religious leaders begin building the Religions for Peace Inter-religious Council–Thailand to
Advance Reconciliation and Peace—
Senior Religious Leaders Issue International Appeal
to Ban Cluster Munitions
—World Council members join Global Day of Action against cluster bombs,
19 April 2008—
Faith Leaders’ Appeal for an International Treaty to Ban Cluster Munitions
The African Council of Religious Leaders
23 April 2008
Let Sanity Prevail In Zimbabwe
Conférence Mondiale des Religions pour la Paix
Des responsables religieux de haut niveau agissent pour construire la paix au Proche Orient,
Ils prennent des mesures pour renforcer le dialogue entre chrétiens et musulmans,
Ils demandent l’établissement d’institutions participatives en Birmanie
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Déclaration du Comité exécutif de “Religions pour la Paix”
sur la construction de la paix au Proche Orient.
Alexandrie | 6 décembre 2007
De nouvelles initiatives sont en cours pour construire la paix au Proche Orient. Des solutions concrètes aux questions des frontières d’un futur Etat palestinien, de l’avenir de Jérusalem et des droits des Palestiniens au retour peuvent et doivent être trouvées.
Nous, Comité exécutif de “Religions pour la Paix”, invitons les responsables politiques palestiniens et israéliens à faire des pas audacieux vers une paix juste et durable. Nous invitons aussi les autres Etats, ceux de la région et ceux qui assistent le processus de paix, en particulier les Etats Unis, à redoubler d’efforts pour soutenir un processus de paix fondé à la fois sur de justes principes et sur les réalités concrètes.
Prendre les dispositions politiques nécessaires pour construire la paix demandera beaucoup de courage et de volonté politique de la part des Israéliens et des Palestiniens. Ce courage et cette volonté existent mais demandent à être soutenus et encouragés de toutes les manières.
Comme les responsables religieux à haut niveau du Conseil des Institutions Religieuses de la Terre Sainte l’ont noté récemment : “Les Palestiniens aspirent à la fin de l’occupation et à ce qu’ils estiment être leurs droits inaliénables. Les Israéliens rêvent du jour où ils pourront vivre en sécurité individuellement et collectivement.
Ensemble, ont-ils ajouté, nous devons trouver le moyen d’atteindre ces objectifs.”
Aojourd’hui, les deux communautés doivent entreprendre de rompre le cercle vicieux de la violence et donner des expressions tangibles de bonne volonté propres à construire la confiance. Nous appelons les gouvernements et les populations d’Israël et de la Palestine à résister à toute tentative violente de la part des extrémistes pour prendre en otage le processus de paix, et à s’armer du grand courage nécessaire pour susciter la confiance. Nous notons avec appréciation les nombreux efforts qui se font en ce sens à la base.
Si une solution politique dépend d’un réglement équitable des aspirations politiques légitimes des Juifs et des Arabes en Terre sainte, nous, responsables religieux, savons aussi qu’une paix véritable et la réconciliation demanderont une participation active des communautés de croyants. Les croyants juifs, chrétiens et musulmans sont profondément attachés à la Terre sainte. L’héritage spirituel de ces trois communautés a formé l’histoire de cette terre, et la vitalité de leur foi est en elle-même une force irremplaçable pour promouvoir une paix juste et réconcilier des communautés profondément blessées par des décennies de violence et de conflit.
Nous sommes pleinement solidaires des signes courageux et réconfortants qui se manifestent au sein des communautés de croyants en Terre sainte.
Concrètement, les responsables religieux ont identifié le respect des lieux saints comme étant une de leurs premières priorités. Ils sont unanimement convaincus que tous, responsables politiques et communautés de croyants, doivent agir pour assurer l’intégrité et l’indépendance des lieux de culte et pour les protéger contre les actes de profanation, les attaques et les dégradations. Les responsables religieux tiennent particulièrement à faire en sorte que leurs propres lieux saints ne soient pas utilisés abusivement à des fins opposées aux aspirations pacifiques de leur religion respective. Nous nous engageons à soutenir leurs initiatives en ce sens.
Nous croyons à la coopération entre les religions en Terre sainte comme un moyen sans égal et irremplaçable de construction de la paix.
C’est pourquoi nous en appelons aux gouvernements en cause et à tous les responsables du processus de paix politique pour qu’ils reconnaissent l’importance des initiatives interreligieuses et en tiennent compte d’une manière appropriée. Simultanément, nous insistons pour que les responsables religieux de Terre sainte intensifient les efforts qu’ils font pour faciliter la communication et la collaboration entre leurs commuautés en vue de construire la compréhension et la confiance, de soulager les souffrances et de guérir les blessures profondes.
A cet égard, nous enregistrons avec une particulière satisfaction la création du Conseil des Insitutions religieuses de Terre sainte. Nous exprimons notre gratitude pour les efforts pluri-religieux qui se déploient en Israël, y compris le Conseil interreligieux de Coordination d’Israël, et pour la création récente du Conseil interreligieux de Palestine, l’un et l’autre affiliés à “Religions pour la Paix” Nous nous sentons profondément encouragés par l’engagement qu’ont pris des responsables religieux d’instituer dans le cadre de “Religions pour la Paix” un Conseil de Responsables religieux du Proche Orient conçu de manière à faciliter la coopération multi-religieuse pour la paix dans toute la région. Nous sommes solidaires de ces organes pluri-religieux et nous engageons à les aider, à les soutenir et à les renforcer en vue d’une action concrète pour la construction de la paix.
Au niveau mondial, en tant que responsables du regroupement le plus vaste et le plus représentatif de responsables religieux travaillant ensemble à la paix, nous nous engageons, en signe de solidarité, à accepter l’invitation que nous font nos collègues de Terre sainte de tenir notre réunion dès que possible à Jérusalem, ville sainte aux yeux de trois grandes traditions religieuses.
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Déclaration du Comité exécutif de “Religions pour la Paix”
sur le dialogue pacifique et les institutions participatives en Birmanie
Alexandrie | 6 décembre 2007
La famille de “Religions pour la Paix”, répandue dans le monde entier, est rassemblée par la conviction que tout acte commis contre les communautés religieuses sous l’autorité du gouvernement du Myanmar atteint aussi toutes les communautés de croyants du monde. Nous apprécions la déclaration faite le 25 septembre 2007 par le Dr. William F. Vendley, secrétaire général de “Religions pour la Paix” appelant les communautés de toutes religions à se tenir aux côtés des moines bouddhistes dans leur protestation pacifique.
Nous voyons un motif d’espérance dans la prise de contact du gouvernement birman avec le Conseiller spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour le Myanmar, avec le Rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits de l’homme au Myanmar et avec Daw Aung San Suu Kyi, prix nobel de la paix et chef de la Ligue nationale pour la démocratie. Ces actes préliminaires doivent cependant mener à une action continue pour la paix.
Nous invitons le gouvernement du Myanmar:
- à engager un dialogue pacifique avec toutes les parties en vue de promouvoir des institutions participatives,
- à faire usage de l’expérience et des ressources des Nations Unies, de l’ASEAN et d’autres institutions internationales et régionales comme médiateurs et facilitateurs pour faire progresser le dialogue pacifique et la marche vers des institutions participatives,
- à s’abstenir de l’usage de la force à l'égard de toute protestation pacifique,
- à accorder aux représentants des Nations Unies et de l’ICRC un accès libre et complet aux lieux de détention et à relâcher les manifestants encore détenus et les prisonniers politiques.
Nous invitons les Nations Unies et les institutions régionales comme l’ASEAN à faire usage de tous les instruments à leur disposition pour encourager un dialogue pacifique et significatif entre le gouvernement et tous les secteurs de la société birmane. Nous, Comité exécutif— de “Religions pour la Paix”, offrons nos bons offices à ces organisations et au gouvernement birman pour les aider à prendre les mesures nécessaires à l’établissement d’une paix juste.
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ISRAELIENS ET PALESTINIENS
« D’UNE SEULE VOIX, LA TOURNEE FRANCAISE »
Projection du film et concert exceptionnel au conservatoire de Sarcelles.
L’association sarcelloise d’amitié franco-algérienne (l’ASAFA), le consistoire israélite d’Ile de France de sarcelles et la ville de Sarcelles sont heureux de présenter la projection événement du film
« D’une seule voix "pour la paix
ainsi que deux artistes venu d’Israël « Hezy Levy »
et de Palestine « Atef Okasha ».
Le Dimanche 2 Décembre 2007 à 15h. (Entrée gratuite)
CONSERVATOIRE DE MUSIQUE (avenue pierre Langevin 95200 Sarcelles)
De hauts responsables religieux musulmans et chrétiens de Palestine
instituent un conseil interreligieux sans précédent
Religions for Peace Calls on Myanmar Government to Exercise Restraint
and Enter Peaceful Dialogue
“The World’s Religious Communities Stand with the Buddhist Monks of Myanmar in their Peaceful Protest.”
Nouvelles du Secrétaire Général de la Conférence mondiale des Religions pour la Paix
Iraq at a Crossroad
Iraqi Sunni and Shiite leaders meet to propose solutions to Iraq's sectarian violence
Réunion des responsables religieux irakiens, en décembre 2006
Dernières nouvelles du Secrétaire général
Déclaration du Secrétaire général de la Conférence mondiale des Religions pour la Paix sur l’escalade du conflit entre Israël et le Hezbollah au Liban et entre Israël et le Hamas en Palestine.
24 juillet 2006
CONFERENCE VENDREDI 24 MARS 2006
Salle des Fêtes de DIEULEFIT à 20 heures 30
OUI A LA PAIX
NON AU FONDAMENTALISME RADICAL
par Ghaleb BENCHEIKH
Président de la Conférence Mondiale des Religions pour la Paix , CMRP – France
et Jean DUMAS
Pasteur, membre du Conseil de la Conférence pour la Paix.
Ghaleb BENCHEIKH, docteur ès sciences, est également de formation philosophique. Outre la présidence de la Conférence des Religions, il est l'animateur de l'émission Islam sur France 2 le dimanche matin.
Il est l'auteur de "La laïcité au regard du Coran " (Presses de la Renaissance), de "Alors, c'est quoi l'islam " (même éditeur), et "l'Islam et le judaïsme en dialogue ", avec Philippe Haddad (L'Atelier).
Jean DUMAS, pasteur retraité à La Paillette-Montjoux, a été responsable du dialogue oecuménique au plan régional. Il a co-animé un Centre Oecuménique à Lille.
Membre actif au sein de la Conférence des Religions, il a dirigé un travail collectif sur "nos fondamentalismes ". Il est l'auteur de "l'Arc-en-ciel des religions" (chez Labor et Fides).
Eglise réformée du Pays de Dieulefit
Les femmes de la CMRP se donnent rendez-vous à Kyoto
Communauté Sant'Egidio
MARCHE POUR LA PAIX
Dimanche 1er janvier 2006 PAIX SUR TOUTES LES TERRES – "Pacem in terris"
A l'occasion de la journée mondiale pour la paix,
la Communauté Sant'Egidio organise une marche pour rappeler toutes les terres qui, au Nord et au Sud du monde, attendent la fin de la guerre, "mère de toutes les pauvretés".
LA MARCHE PARTIRA A 17H DU PARVIS DE NOTRE DAME
Si vous souhaitez participer à la marche pour la Paix ou vous renseigner sur son organisation, n'hésitez pas à nous contacter :
Communauté Sant'Egidio : 01 40 29 97 70
Email : santegidio@aol.com
www.santegidio.org
Discours de l' Iman et théologien Omar MAHASSINE ,
fondateur du groupe de la CMRP GIP-78,
lors de la prière du vendredi 09 juillet 2005
à la salle de prières de Carrières sous Poissy.
Déclaration de Gunnar Stalsett (évêque luthérien d'Oslo)
Modérateur du Conseil Européen de Responsables Religieux,
Co-président de la Conférence Mondiale des Religions pour la Paix
Suite aux attentats de Londres
Le président du comité exécutif de la Conférence Mondiale des Religions pour la Paix présente ses condoléances après les attentats de Londres.
CONSTRUIRE LA PAIX PAR LA COOPÉRATION PLURIRELIGIEUSE
A l’occasion de la réunion des Nations Unies sur le traité de prolifération des armes nucléaires, le Comité exécutif de la Conférence mondiale des Religions pour la Paix a adopté le 6 mai 2005 la déclaration suivante, qui a été portée à la connaissance de tous les gouvernements des Etats membres des Nations Unies.
Déclaration du Comité exécutif
de la Conférence mondiale des Religions pour la Paix
STOP A LA PROLIFERATION DES ARMES NUCLEAIRES
CONFERENCE MONDIALE DES RELIGIONS POUR LA PAIX
DECLARATION D’ENGAGEMENT MORAL PARTAGE
Déclaration du Conseil d’administration de Religions pour la Paix
relative à la violence au Darfour, rendue publique le 22 septembre 2004
et remise ce même jour à New York au Secrétaire général des Nations unies et aux représentants de tous les Etats membres du Conseil de Sécurité.
Nous, membres du Conseil d’Administration de la Conférence mondiale des Religions pour la Paix, le plus vaste rassemblement mondial de représentants de communautés de croyants travaillant ensemble à la paix, adressons un appel à la communauté internationale pour qu’elle s’engage dans une action persévérante en vue d’empêcher que de nouveaux décès se produisent en quantité dévastatrice parmi les dizaines de milliers de Soudanais de la région du Darfour et parmi ceux qui se sont enfuis de l’autre côté de la frontière avec le Tchad. Il est impératif d’agir immédiatement. Religions pour la Paix prie instamment les Nations unies de prendre les mesures nécessaires pour sauvegarder autant de vies humaines et de moyens d’existence que possible.
Aux termes du communiqué conjoint négocié en juin entre M. Kofi Annan, secrétaire général des Nations unies et le gouvernement soudanais, celui-ci s’est engagé à prendre des mesures spécifiques pour mettre fin aux violences dans la province de Darfour, mesures incluant le désarmement de la milice Janjaweed et des autres groupes armés irréguliers qui terrorisent la population locale. Cependant, des rapports dignes de foi indiquent que des combats, des actes de violence et des attaques contre les civils continuent de mettre en péril la sécurité des habitants du Darfour et font que les personnes déplacées et les réfutgiés au Tchad ont peur de revenir dans leurs villages. Pour que les dispositions clé du communiqué conjoint relatives à la sécurité et au cessez-le-feu soient mises en application, Religions pour la Paix recommande que soient prises toutes les dispositions juridiques indispensables, y compris la mise en place d’inspecteurs et de la force de protection en cours de discussion au sein de l’Union africaine.
Les gouvernements des pays qui disposent des ressources nécessaires sont dans l’obligation morale de fournir une aide logistique, financière et autre pour assurer la sécurité des civils soudanais. Religions pour la Paix prie instamment, en outre, les principaux acteurs de faire appel aux responsables religieux qui sont engagés pour la paix et qui ont l’autorité morale dont on a un si urgent besoin pour aider à résoudre cette tragédie humanitaire. Comme nous l’avons constaté par expérience au Libéria, en Bosnie, au Kosovo et en Sierra Leone, quand les religions s’unissent sur la base d’engagements moraux partagés, des divisions qu’on aurait cru insurmontables peuvent être dépassées.
Pour une solution durable du conflit du Darfour, la Conférence mondiale des Religions pour la Paix prie instamment tous les groupes en présence de respecter l’accord de cessez-le-feu signé en avril 2004 et de mobiliser toutes les parties en cause pour négocier un règlement d’ensemble. Nous appelons les Nations unies à continuer leur action. Nous nous félicitons des efforts en cours de l’Union africaine,. Nous nous déclarons prêts à les assister à travers le Conseil africain de responsables religieux fonctionnant sous notre égide.
DERNIÈRES INFORMATIONS DU SECRÉTAIRE GÉNÉRAL ("Secretary General’s Update")
Dr. William F. Vendley, août 2004
Notre monde traverse une période de confusion et de grande tension. On se méfie et on s’inquiète, de beaucoup de côtés, de ce que l’action unilatérale de certains affaiblit les organisations multilatérales dont nous dépendons tous pour disposer de normes communes en matière de paix et de sécurité. A la douleur que causent les conflits ouverts en divers lieux du monde s’ajoute maintenant la crainte du terrorisme qui menace de polariser encore plus notre famille humaine. Tandis que, partout dans le monde; le terrorisme est presque unanimement rejeté et qu’on ne lui reconnaît aucun fondement moral, beaucoup sont profondément troublés par des politiques qui, conçues pour lutter contre le terrorisme, risquent au contraire de le légitimer aux yeux de ceux qu’il séduit le plus.
En Irak, les gens sont pris dans le jeu de forces antagonistes comprenant le terrorisme, une occupation de fait, la résistance et des interprétations contradictoires de l’auto-détermination. Cependant, en dépit d’une insécurité croissante, les responsables religieux irakiens continuent de se mobiliser à travers les Religions pour la Paix pour s’opposer à ceux qui abusent de la religion pour semer la haine et pour faire progresser un consensus moral grandissant sur les conditions nécessaires à une auto-détermination irakienne authentique. C’est une tâche extrêmement difficile. Nos confrères religieux irakiens méritent que nous leur accordions de partout dans le monde solidarité et soutien.
Action commune de responsables religieux irakiens menée à travers "Religions pour la Paix"
Quoique leurs positions politiques et religieuses soient très différentes, un groupe remarquablement représentatif de responsables religieux shiites, sunnites et chrétiens s’est réuni à Kyoto à la fin de juillet.Ils se sont engagés à travailler ensemble pour à les enfants victimes de la guerre en Irak, sans considération de leur identité ethnique ou religieuse. Ils ont déclaré que leur rencontre de Tokyo avait été l’occasion "de surmonter nos blessures et nos chagrins, en donnant aux souffrances du pays priorité par rapport aux nôtres".
Cette réunion faisait suite à une invitation du Comité exécutif de Religions pour la Paix et était hébergée par Religions pour la Paix / Japon. Pendant leur séjour, Religions pour la Paix / Japon leur a fait rencontrer Mme Yoriko Kwaguchi, ministre des Affaires étrangères du Japon, et les responsables d’autres institutions importantes susceptibles de devenir les partenaires de Religions pour la Paix / Irak. Impressionnés par ce qu’ils avaient découvert à Hiroshima des dévastations subies par cette ville et de sa reconstruction, les responsables religieux irakiens ont dit à Mme Kawaguchi qu’il ne pourrait y avoir en Irak de reconstruction matérielle sans une reconstruction sociale.
La ministre s’e st dite convaincue du rôle crucial que les responsables religieux avaient à jouer pour reconstruire l’Irak. Elle a souligné que de nombreux gouvernements sont de plus en plus conscients de l’importance qu’a pour la paix la coopération multi-religieuse.
L’engagement pris par les responsables religieux irakiens de travailler ensemble à l’aide aux enfants victimes de la guerre est de la plus haute importance, et cela pour deux raisons. La première et la plus évidente est qu’il est effectivement possible d’aider beaucoup d’enfants ayant subi d’h orribles blessures du fait de la guerre. L’autre est qu’en coopérant dans un domaine non politique affectant toutes les fractions de la société irakienne, ces responsables donnent l’image d’une solidarité authentique que tous les Irakiens peuvent accepter, quelles que soient leurs différences. Approfondir aux dimensions du pays tout entier une solidarité fondée sur des valeurs partagées est la clé du progrès vers l’auto-détermination des peuples de l’Irak.
Ce que les responsables religieux irakiens ont fait au Japon s’inscrit dans la ligne de ce qu’ils ont déjà fait avec la Conférence mondiale des Religions pour la Paix. S. A. R. le prince Hassan bin-Talal, modérateur du Conseil de la Conférence, a déjà servi d’hôte à beaucoup de réunions de ce genre, et cela dès à peine quelques semaines après l’entrée des troupes d’occupation à Bagdad. De plus, nos courageux collaborateurs ont travaillé avec eux pour apporter une aide humanitaire essentielle pendant la période la plus critique d’après la guerre.
Le Comité exécutif fait savoir que la huitième Assemblée mondiale de la WCRP se tiendra à Kyoto.
Le Comité exécutif international a annoncé que Kyoto serait le site officiel de la huitième Assemblée mondiale qui doit se tenir du 26 au 29 août 2006. Ce lieu a une signification historique car c’est à Kyoto qu’a eu lieu en 1970 la première assemblée mondiale de la Conférence ondiale des Religions pour la Paix. Depuis cette date, "Religions pour la Paix" est à l’origine de la création de 55 sections nationales et de quatre conseils interreligieux régionaux (pour l’Afrique, l’Asie, l’Europe et l’A mérique latine), agents de la coopération multi-religieuse. L’organisation a des activités dans tous les continents et dans quelques uns des endroits les plus troublés du monde. Il semble approprié que des représentants du réseau mondial de la famille des Religions pour la Paix reviennent à Kyoto, berceau de notre mouvement, pour donner une nouvelle vigueur à notre coopération en vue de la paix avec la justice.
Valerie A. Nash
Chief of Staff - Office of the Secretary General
World Conference of Religions for Peace
Church Centre to the United Nations
777 United Nations Plaza, 9th Floor
New York, New York 10017
Tel: (212) 687-2163, Ext. 26
Fax: (212) 983-0566
Email: vnash@wcrp.org
Website: www.wcrp.org
DERNIERES INFORMATIONS DU SECRETAIRE GENERAL
Dr. William F. Vendley, 15 mai 2004
De : "Bill Boltz" bboltz@wcrp.org
Date : 21 Nov 2002 12:19:03 -0500
Déclaration de HRH Prince El Hassan bin Talal
Moderator, WCRP
Comme croyant musulman, j'ai prié pour que le siège du théâtre de Moscou se termine pacifiquement. J'avais conscience du fait qu'était au moins donné, aux observateurs que nous étions de ce nouvel exemple de l'inhumanité de l'homme pour son semblable, du temps pour prier pour les innocents enfermés contre leur gré dans ce bâtiment, ce qui n'était pas le cas pour les victimes de l'attentat de Bali, il y a à peine un mois, ou pour celles de New York il y a un an. En tant que Musulman, je me suis de nouveau senti profondément blessé de ce que les auteurs de ce crime aient l'audace de se dire musulmans. Quelle injure faite aux hommes de foi et de raison de partout !
Janvier 2002
NOUVEAU DIRECTEUR DU PROGRAMME RELATIF AU DESARMEMENT
RENCONTRE DES RESPONSABLES RELIGIEUX EN MACEDOINE
Au cours de l’été et du début de l’automne 2001, la Conférence mondiale des Religions pour la paix a poursuivi son action tendant à réunir les responsables religieux de Macédoine en vue de les soutenir dans leurs effors pour calmer les tensions qui ont dominé le pays cette année.
28 août 2001
A LA CONFERENCE DES NATIONS UNIES, LES RELIGIONS POUR LA PAIX
SE PRONONCENT POUR UN CONTROLE RIGOUREUX DES ARMES LEGERES.
Religions pour la Paix patronne aux Nations Unies un colloque sur les enfants dans les conflits armés.
Religions pour la paix a participé le 5 juin 2001, avec de nombreux autres sponsors, à un colloque sur “Les enfants dans les conflits armés, une responsabilité pour tous”, tenu au siège des Nations Unies à New York. En présentant ce thème aux participants du colloque, diplomates, responsables politiques, leaders économiques et religieux, M. Olara A. Otunnu, représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies pour les enfants dans les conflits armés, a souligné que les religions ont un rôle essentiel à jouer pour protéger les jeunes contre le risque d’être impliqués dans les conflits comme combattants ou comme victimes de meurtres, de viols, de mutilations ou d’autres atrocités.
Mgr. Martino, représentant du Saint-Siège auprès des Nations Unies, et le Dr. Vendley, secrétaire général de Religions pour la paix, ont également pris la parole.
Des témoignages particulièrement émouvants ont été présentés par des enfants du Kosovo, de Sierra Leone et de Colombie : certains ont été enlevés et incorporés de force dans des unités combattantes ; d’autres ont dû fuir des zones de combat ; des fillettes ont été violées et contraintes de subir des avortements.
Une semaine plus tard, le 11 juin, Religions pour la paix et d’autre membres du comité des ONG religieuses accréditées aux Nations Unies se sont réunis dans le cadre de la troisième session du comité préparatoire de l’assemblée générale extraordinaire des Nations Unies sur les enfants. Ils se sont efforcés d’identifier les défis auxquels les religions ont à faire face et les expériences positives dont elles peuvent faire état s’agissant de fournir aux enfants une vie saine, de leur procurer un enseignement de qualité, de les protéger contre les abus, l’exploitation et la violence, de combattre le SIDA et de mobiliser des ressources en leur faveur.
International
RÉFLEXIONS SUR LA TRAGÉDIE DE BALI
SAR le prince El Hassan Bin Talal, modérateur de la Conférence mondiale pour les Religions et la Paix
17 octobre 2002
Compassion, indignation, tristesse, colère, méditation... L'horrible attentat de Bali ramène à l'esprit les sentiments contradictoires que nous éprouvions presque tous l'an dernier après les événements du 11 septembre 2001. Comme modérateur de la Conférence mondiale sur les religions et la paix (WCRP), je me tourne avec affection vers les familles et les êtres chers de ceux qui sont morts lors de cette nouvelle insulte à notre humanité commune. Au moment où je me sens pris de colère envers les auteurs de ce nouveau carnage, je suis réconforté par la pensée que ces hommes mauvais rendent le reste des humains plus conscients des liens existant entre nous au sein d'une unique famille humaine, et qu'ils fortifient notre résolution de nous opposer à ceux qui ont l'audace de perpétrer de tels crimes envers de simples civils.
Le travail significatif de la WCRP témoigne de cette volonté. Compagnons de spiritualité, mais aussi d'humanité, nous continuerons à faire progresser notre engagement en vue d'un avenir meilleur pour tous.
International
LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU REGROUPEMENT INTERRELIGIEUX LE PLUS IMPORTANT
New York, 18 octobre 2002.
Le Dr. William F. Vendley, secrétaire général de la Conférence mondiale des Religions pour la Paix, le plus important groupement des grandes religions qui travaille dans les domaines de la transformation des conflits, des droits de l'homme et du développement, a rendu public aujourd'hui la déclaration suivante :
International
International
Prince Hassan bin Talal président du Comité exécutif Conférence mondiale des Religions pour la Paix
2 mai 2002
La Terre sainte, berceau de trois grandes religions monothéistes, est abreuvée du sang de morts innocents. La peur, la souffrance, l’angoisse des gens chassés de chez eux par la force et les destructions massives accablent les vivants. Les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans, tous enfants d’Abraham le père de la Foi, sont pris dans des actes de violence sans précédent. Les lieux saints, sanctuaires de paix, n’échappent pas au conflit. L’endroit où est né Jésus, l’église de la Nativité, est le lieu d’un affrontement armé.
International
LE PRESIDENT DU COMITE EXECUTIF DE LA CONFERENCE MONDIALE DES RELIGIONS POUR LA PAIX RECLAME LA FIN DU SIEGE ET DES “ACTES DE VIOLENCE SANS PRECEDENT”
Amman (Jordanie) , 2 Mai 2002
S. A. R. le prince El Hassan bin Talal, président du Comité exécutif de la Conférence mondiale des religions pour la paix (WCRP), a réclamé aujourd’hui la levée pacifique du siège de l’église de la Nativité et la protection de tous les lieux saints. Dénonçant la violence qui s’est emparée de la Terre sainte, y compris le lieu même de la naissance de Jésus, le prince Hassan a rappelé que les trois religions abrahamiques “prônent toutes la paix dans la justice, toutes trois définissent avec soin le cadre de la légitime défense, mais aucune n’admet qu’un sang innocent soit versé, pour quelque raison que ce soit”
Rejeter le terrorisme, promouvoir la paix dans la justice : la réponse des religions
Déclaration du Comité exécutif de la Conférence Mondiale des Religions pourla Paix New York, 24 octobre 2001
International
DECLARATION DES LEADERS RELIGIEUX DE L’EUROPE DU SUD-EST
(extraits du texte adopté le 27 novembre 1999, en marge de la Septième Assemblée mondiale de la WCRP, par vingt-sept responsables de haut niveau, catholiques, protestants, orthodoxes, juifs et musulmans des divers pays de l’Europe du Sud-Est)
Hommes religieux, nous devons affirmer que dans chacune de nos traditions, la vie humaine est sacrée. Toute violation des droits de toute personne est inacceptable et doit être condamnée. Toutes nos traditions religieuses cherchent à promouvoir la plénitude de la vie par la paix, la justice, la compassion et l’amour. Malheureusement, l’expérience récente de l’Europe du Sud-Est est pleine de conflits qui les ont déniés à beaucoup. (...)
Trente et unième Conférence générale de l’UNESCO (Paris, 15 octobre - 3 novembre 2001)
Intervention de la Conférence mondiale des religions pour la paix dans le débat général
par Jacqueline Rougé, Coprésidente de WCRP - International :
Monsieur le président, Madame la présidente du Comité exécutif, Monsieur le Directeur général, Mesdames et Messieurs,
Au moment même où les orateurs qui se succèdent à cette tribune ne manquent pas d’exprimer leur horreur pour des crimes que leurs auteurs ont l’impudence de présenter comme des actes religieux, il se tient à New York une assemblée extraordinaire solennelle de la Conférence Mondiale des Religions pour la Paix au nom de laquelle je parle ici. Le nom même de cette ONG dit assez son refus d’une telle perversion du sentiment religieux.